Entrevue à l’émission Pénélope sur les ondes d’Ici Première

La semaine dernière, une recherchiste de l’émission Pénélope, de la radio de Radio-Canada, m’a offert de participer à un segment au sujet de l’alopécie féminine. L’entrevue avait lieu ce matin.

Quel bonheur de partager ce moment avec mon amie Manon Lebel (La coiffeuse qui perdait ses cheveux), Annie Noël de Tilly et l’animatrice Pénélope McQuade! Je crois que le sujet a touché beaucoup de personnes. Certaines se sont abonnées à mon compte Instagram et les statistiques de mon blogue explosent!

Nous allons nous créer une superbe communauté, pleine d’empathie, de douceur, de beaux partages inspirants et d’espoir! 🙏🏻🥰 Parler d’alopécie et de pelade fait tomber les tabous et éduque la population sur cette condition, un petit pas à la fois.

Vous pouvez réécouter l’entrevue ici!

Pour me suivre sur Instagram: Instagram.com/annelisenadeau

Je suis sur un petit nuage! Ça me fait tellement plaisir de savoir que ce partage d’expérience peut faire du bien aux personnes qui vivent le stress d’une perte de cheveux! Soyons belles. Soyons fortes. Soyons UNIQUES!

Femmes et chauves: elles assument l’alopécie et affrontent la vie sans cheveux

C’est la première fois que je vois ma tête en entête (!) d’un article en portugais! J’essaie d’obtenir l’autorisation de vous le traduire. En attendant, il y a Google traduction qui peut vous dépanner! 🙂

Comme vous le savez peut-être, mes cheveux repoussent. Or, il me fait toujours plaisir de partager mon histoire, car je sais que beaucoup de femmes souffrent en silence, peu importe la cause de la perte de cheveux.

Merci à Daniella Franco de RFI internationale!

Lire l’article: Mulher e careca: elas assumem a calvície e encaram a vida sem cabelos  

Entrevue en France… à distance!

Ah! Le petit monde d’Internet… Cette semaine, j’ai reçu une demande d’une journaliste du service brésilien de Radio France internationale (RFI), de Paris. Elle voulait faire une entrevue avec moi au sujet de ma condition capillaire!
C’est la deuxième fois qu’on me demande de l’autre côté de l’océan. La première fois, c’était de la part d’une recherchiste d’une émission de France 2, mais ils ne payaient pas le billet d’avion! 😉
Cette fois, nous avons pu faire l’entrevue sur WhatsApp, une application de textos « audio ». La magie de la technologie! Si jamais je vois l’article passer, je vous partagerai le lien ici!
Merci à la journaliste Daniella Franco pour son intérêt et sa délicatesse!

L’alopécie chez l’enfant

Souffrir de pelade ou d’alopécie quand on est adulte, c’est une chose. Quand on est enfant, je pense que c’est encore plus difficile.

Dans la cour d’école, on se fait regarder de travers, parce qu’on est différent. On subit les railleries ou les questions de la part des camarades. Pour quelqu’un qui est en train de bâtir son estime de lui-même, c’est déstabilisant!

Dernièrement, je recevais ce message, sur Instagram, après avoir publié une photo de moi avec mes cheveux qui repoussent: « Dommage que les cheveux soient devenus un but… Je découvre des photos de vous et d’autres femmes sans cheveux qui ont une puissance incroyable, une beauté mise à nue qui vous scotche. Les cheveux ne sont là que pour entrer dans le moule et passer inaperçue… » En lisant cela, je me disais que cette personne devait avoir tous ses cheveux, pour juger de la sorte notre désir de voir notre chevelure repousser. Ça m’a fait un gros pincement au cœur. Avais-je tort de vouloir des cheveux, même si on m’a souvent dit que le crâne rasé m’allait bien?

La jeune fille dans la vidéo suivante l’explique bien: c’est bien de passer inaperçue, des fois. On a besoin de ne pas avoir à tout expliquer, partout, tout le temps!

Quand les cheveux repoussent ou qu’on fait le choix de porter une prothèse, ça fait du bien de se sentir « normal », de se fondre dans la masse. L’alopécie, c’est un long fleuve, mais pas tranquille du tout! Parfois, il y a des vagues. À d’autres moments, on se sent en paix avec notre condition. C’est une aventure pleine de hauts et de bas.

Je partage avec vous cette vidéo au sujet d’une jeune ontarienne ayant une alopécie universelle. C’est intéressant de voir comment cette jeune fille vit avec sa condition. Elle fait preuve d’une grande force!

À écouter et à partager, pour qu’enfin, tombent les tabous!

Perdre ses cheveux: un défi pour l’estime de soi

Au début du mois de septembre, cela a fait un an que j’ai rasé mes cheveux, à cause d’une crise de pelade (lire Le jour où je suis devenue chauve). J’ai cherché les mots pour décrire comment je me sentais et où j’en étais dans l’acceptation de mon état. J’ai enregistré un billet avec le dictaphone de mon téléphone cellulaire pour essayer de formuler ma pensée « comme ça venait ». Je comptais le transcrire ici, mais j’ai perdu des fichiers quand j’ai changé de téléphone! Puis, j’ai procrastiné. Remis à plus tard. Et encore. Et encore.

Je viens de visionner l’entrevue que j’ai donnée à Robert Leroux, animateur de l’émission Au nom de la vie, diffusée sur les ondes de ZoneTv. J’ai été invitée à parler d’estime de soi et de ce qui m’est arrivé au cours de la dernière année. Je me rends compte que cela résume très bien les 15 derniers mois et comment je me sens aujourd’hui! Je vous présente donc cette entrevue en toute humilité!

Pour simplifier l’écoute, j’ai séparé l’émission en deux parties. Dans la première, vous aurez l’occasion de connaître ce qu’est la pelade. Dans la deuxième, je parle des solutions. Sachez qu’il est toujours possible d’aller visionner l’émission dans son format intégral sur la chaîne Youtube de ZoneTv. Par ailleurs, j’en profite pour remercier Frank Therrien, directeur de la programmation, et Robert Leroux, animateur, pour leur chaleureux accueil!

Bonne écoute!

Repost: Une question de différence

Je publie ici les liens des billets que j’ai écrits au sujet de la pelade sur mon blogue Anne-Lune.com/blogue.


Billet publié le 17 janvier 2017

« Quand on a une tête différente, on se fait poser des questions. Plein de questions!

Parfois, on se fait aussi inviter, dans différents médias, pour parler de notre différence.

Pendant les vacances des Fêtes, je me suis rendue à Beloeil pour rencontrer l’animatrice Marie-Ève Gaudreau, qui avait des questions à me poser au sujet de la pelade. »

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